Accueil Vidéos Clips DINOS feat. BAMBY – PAULIN PAULIN PAULIN Trois fois le même nom, trois battements du même cœur Chez Dinos, la répétition n’est jamais hasard : elle est rythme, prière et blessure.Avec “PAULIN PAULIN PAULIN”, le rappeur transforme un prénom en écho, une obsession en musique. Et Bamby, voix lumineuse et affirmée, vient poser la douceur là où lui sème le doute. Ce n’est pas un featuring, c’est une collision entre deux univers : la froideur poétique de Dinos et la sensualité moelleuse de Bamby s’y mêlent jusqu’à brouiller les frontières entre force et fragilité. Un clip qui parle sans mots Visuellement, le clip est une symphonie de néons et d’ombres.Les plans s’étirent comme des pensées, les lumières de la ville deviennent des signaux émotionnels, et les regards remplacent le dialogue. Rien n’est surjoué, tout est suspendu : le clip respire l’introspection chic, ce mélange de distance et de sincérité que Dinos maîtrise comme personne. La mise en scène ne raconte pas une histoire, elle met en image une sensation : celle d’un amour répété, d’une mémoire qui refuse de s’éteindre.Chaque “Paulin” semble être une tentative d’appel — un prénom crié dans le vide, un souvenir qui revient, un refrain qui s’accroche. L’alchimie Dinos × Bamby Là où Dinos explore la gravité et la pudeur, Bamby éclaire le morceau d’une énergie solaire. Sa voix vient danser sur la tension du texte, offrant au titre une dimension quasi mystique : comme si la douceur répondait à la douleur, comme si le féminin venait compléter le silence masculin. L’ensemble devient une ballade urbaine, à mi-chemin entre le rêve et la lucidité. Une répétition comme révélation Répéter “Paulin” trois fois, c’est refuser l’oubli. C’est aussi rappeler la force du détail, ce prénom banal qui devient poème.Dinos ne décrit pas l’amour ; il le cite, il le ressasse, il l’épuise jusqu’à en faire un rythme.Le clip en devient la mise en abîme : trois syllabes, mille émotions, un seul écho. PAULIN PAULIN PAULIN n’est pas un simple clip : c’est une ode à la mémoire sentimentale, un fragment de nuit où la ville devient confident et la musique, exorcisme.Dinos et Bamby signent un duo à la fois fragile et monumental — une caresse qui laisse des traces de béton. “Trois fois le même prénom, trois fois le même fantôme.” Partager : Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X J’aime ça :J’aime chargement…