Swarovski en difficulté

La maison de joaillerie Swarovski vit une mauvaise passe en ce moment. Dans leur boutique des Alpes sont présenté les parures qui ont fait leur renommée : des robes pour Dior, pour Beyoncé ou pour Marylin Monroe.
Mais au-delà de cette forme visible, la maison des Strass vit un déchirement intérieur. Les héritiers censés hisser l’étendard de l’institution afin de lui faire retrouver ces lettres de noblesse, ne s’entendent pas sur la marche à suivre. Cette instabilité est à mettre au compte de la pandémie de Covid19 et la vorace concurrence chinoise qui ont asséchés les caisses de l’empire tyrolien.
Afin de sortir de cette impasse  un choix se présente à la compagnie familiale. Faut-il s’intéresser au haut de gamme et délaissé le bon marché qui t’a rentrer en bourse et à ouvrir un capital ? Devant ce cas de figure proposé par le PDG Robert Buchbauer, une partie de la famille se rebiffe et souhaite retirer tout pouvoir de mouvement à un dirigeant selon eux susceptible de les conduire en échec. La compagnie doit faire face à ces aléas si elle souhaite garder sa place de roi de strass.

Clovis REVAZA