Il y a des titres qui intriguent dès qu’on les lit. « On s’en rappellera pas » fait partie de ceux-là
Avec « Big Mama » Guy2Bezbar confirme son goût pour une esthétique où l’intime et l’urbain se croisent
Avec « Big Mama » Guy2Bezbar confirme son goût pour une esthétique où l’intime et l’urbain se croisent
Accueil Exclus News Dans les couloirs feutrés de la politique américaine, les deals ne se font pas toujours devant les caméras. Parfois, tout commence par un murmure, une rumeur… et l’ombre d’un appel au sommet. C’est ce qui plane autour de Sean “Diddy” Combs, icône du hip-hop devenu détenu de luxe, condamné pour deux chefs liés à la prostitution. Le récit officiel… et l’autre L’avocate Nicole Westmoreland confirme : oui, il y a bien eu prise de contact avec l’administration Trump pour sonder la possibilité d’une grâce présidentielle. Mais son confrère Marc Agnifilo, avocat principal du dossier, dément catégoriquement avoir lui-même parlé à quiconque dans l’entourage de Trump.Une dissonance étrange, qui laisse la porte ouverte à une troisième hypothèse : et si les véritables négociateurs n’étaient pas les avocats officiels, mais des “proches” opérant en coulisses ? Les coulisses d’un lobbying discret Selon plusieurs sources, certains alliés de Diddy auraient cherché à tâter le terrain auprès de Trump ou de son entourage, explorant des voies officieuses, parfois avec des promesses financières en toile de fond. Rien d’illégal en soi, mais le parfum de lobbying est là, mêlé à l’urgence d’un artiste qui veut sauver sa liberté… ou préparer son grand retour sur scène. Trump, l’ami devenu distant Donald Trump reconnaît avoir partagé autrefois une certaine camaraderie avec Diddy, leurs parcours mondains s’étant souvent croisés dans les années fastes. Mais la politique a changé la donne. Lors de sa campagne présidentielle, Diddy avait publiquement critiqué Trump, une prise de position qui, selon ce dernier, “rend les choses plus… compliquées”.Une manière polie de dire : la grâce présidentielle n’est pas sur le haut de la pile. Pourquoi cette affaire dépasse le simple cas Diddy Ce dossier révèle quelque chose de plus large : la porosité entre showbiz, politique et influence privée aux États-Unis. Il met en lumière les stratégies d’urgence des célébrités en chute libre, prêtes à tout pour éviter que leur nom soit définitivement associé à une condamnation.C’est aussi un rappel brutal que dans l’arène du pouvoir, les vieilles amitiés ne survivent pas toujours aux blessures publiques. Entre démentis, démarches officieuses et ego politiques, cette demande de grâce ressemble moins à un simple dossier juridique qu’à une partie d’échecs à haute tension. Diddy joue sa liberté. Trump, lui, joue une image… et peut-être une revanche.